On ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiments

Le rêve de l'UN c'est l'Autre, mais qu'est-ce qu'il souffre, l'Autre.   Tiens, voici , à l'image de Dieu, du moins de celle que j'en ai, ce que je lisais récemment:
Le cerveau est ainsi fait qu’il enregistre plus facilement les informations négatives que positives. Des études américaines ont démontré que pour compenser une image négative il en fallait cinq positives. De ce fait, les effets psychologiques engendrés par les bonnes et les mauvaises nouvelles sont asymétriques, les secondes suscitant davantage de réactions que les premières.
En d’autres termes, nous avons une tendance naturelle à attribuer une plus grande valeur aux  événements  dramatiques de l’existence.  Ceci n’est pas sans conséquence sur notre niveau de bien-être général.

  Donc, c'est bien ce que je dis, Dieu prend plus son pied avec les tragédies qu'avec les romans à l'eau de rose, à moins que Son cerveau ne soit différend du nôtre.
Contre argument:   c'est Mon cerveau qui se complaît à ce qui va mal, les Hitler et autres dictateurs, mais il y a dans l'existence des choses merveilleuses, de grandes joies, de la lumière.   D'accord, mais dans ce cas l'homme n'est pas une réussite, malgré les cathédrales, les symphonies, les œuvres d'art, si ?
Tiens, ça me fait penser, suite à des considérations sur le péché, dans " Pourquoi Dieu a envoyé....." que du fait que tous les êtres vivants sont des acteurs que Dieu a créés pour s'amuser, ils seront tous pardonnés, même Hitler ........ ou tous anéantis, pour faire le ménage et créer un nouveau monde.

Alors, personne ne réagit?

Le cerveau est ainsi fait qu’il enregistre plus facilement les informations négatives que positives. Des études américaines ont démontré que pour compenser une image négative il en fallait cinq positives.

Je pense que cela provient du traumatisme que génèrent en soi les mauvaises nouvelles. Elles entraînent sur notre système nerveux des marques plus profondes et qui en conséquence laissent davantage de traces en soi...

Mais bon...

Jean-Yves a écrit:

Le cerveau est ainsi fait qu’il enregistre plus facilement les informations négatives que positives. Des études américaines ont démontré que pour compenser une image négative il en fallait cinq positives.

Je pense que cela provient du traumatisme que génèrent en soi les mauvaises nouvelles. Elles entraînent sur notre système nerveux des marques plus profondes et qui en conséquence laissent davantage de traces en soi...

Mais bon...

Soit, et alors, faut-il désespérer?

Bonjour,

La réalité est ce qu'elle est les lois de la nature sont ce qu'elles sont... Et je ne pense pas que quelque chose aie changé depuis les temps passés.
Bien sûr ce monde tel qu'on le voit sous nos yeux peut apparaître bien désespérant, mais en fait on ne voit le plus souvent que le plan superficiel des choses.
Sur le plan superficiel, il y a bien sûr la dualité bien/mal, mais ce n'est que sur le plan superficiel.
Fondamentalement, dans les couches les plus profondes de soi, il n'y a que paix et amour...
D'où la raison d'être du chemin spirituel qui nous amène (normalement) à nous reconnecter avec des plans plus profonds de soi.

Jean-Yves a écrit:Bonjour,
Sur le plan superficiel, il y a bien sûr la dualité bien/mal, mais ce n'est que sur le plan superficiel.  

La roulette du dentiste c'est superficiel, mais sans anésthésie c'est atroce, insupportable!

Fondamentalement, dans les couches les plus profondes de soi, il n'y a que paix et amour...

Oui, bof, et une fois qu'on a contacté cela, n'y-a-t-il pas des centaines de millions d'humains, d'animaux et peut-être même de plantes qui souffrent?