Notions de « non-agir » et épanouissement de soi...
Page 1 sur 1
Notions de « non-agir » et épanouissement de soi...
Bonjour...
Le « non agir » signifie « non intervention de la structure individuelle ». Cela sous-entend qu’alors est révélé en soi un plan plus profond que la structure individuelle.
De fait, de toutes évidences, il s’agit d’un enseignement qui est destiné à ceux qui ont déjà intégré un certain niveau de ce silence et de cette paix intérieure qui sont présents en chacun (le SOI).
Car il est certain que c’est un enseignement qui peut être très mal compris, car « non-agir » pourrait facilement devenir « non activité » et « passivité ». Et ce n’est pas ça.
A un certain stade d’intégration du SOI, on peut en arriver à prendre conscience que le monde est parfait et qu’en ce sens il n’y a rien qui « doive » être fait. Et aussi que notre compréhension intellectuelle de la réalité est trop limitée pour savoir ce qui est le mieux dans telle ou telle situation.
Il est possible, dans un premier temps, de « s’approcher » de ce mode de fonctionnement, de privilégier (si on a le choix en tous cas) « ce qui nous est le plus confortable », de « ne pas se contraindre », « de s’écouter », « de rester fidèle à soi-même ». Ainsi, on peut glisser progressivement d’un mode de fonctionnement qui repose essentiellement sur « l’intellect » à un mode de fonctionnement qui fait appel au « ressenti ».
Lorsque le niveau de paix est révélé en soi (lorsque le SOI s’est révélé), il est comme un flot continu de quiétude intérieure. Et « l’action juste » (c’est-à-dire celle qui est en accord avec le mouvement de la Vie, avec la force de Vie) est celle qui émerge (qui est impulsée) sans qu’il y aie de rupture en soi avec ce niveau de quiétude. Dans ce cas-là, l’action s’écoule avec une telle spontanéité qu'on peut avoir le ressenti « je n’agis pas du tout ».
On peut dire que c’est un mode d’action dans lequel « on n’attend rien », « qui n’a pas de but, pas d’objectif », ceci dans le sens « d’un objectif à atteindre, d’un idéal à atteindre ». Car celui qui l’accomplit est déjà dans la quiétude, et dans la conscience « le monde est parfait ».
Il s’avère que le mode d’action qui se met en mouvement sur la base d’une compréhension intellectuelle, même bienveillante, même profonde, est nécessairement limité à cette compréhension intellectuelle, et de ce fait ne peut pas prendre en considération toute la complexité des mouvements de l’univers.
Mais l’action qui jaillit d’elle-même, lorsque « l’enfermement » est dépassé, est un peu comme une plante qui pousse, dans le sens où elle devient managée par la force du vivant elle-même.
Le « non agir » signifie « non intervention de la structure individuelle ». Cela sous-entend qu’alors est révélé en soi un plan plus profond que la structure individuelle.
De fait, de toutes évidences, il s’agit d’un enseignement qui est destiné à ceux qui ont déjà intégré un certain niveau de ce silence et de cette paix intérieure qui sont présents en chacun (le SOI).
Car il est certain que c’est un enseignement qui peut être très mal compris, car « non-agir » pourrait facilement devenir « non activité » et « passivité ». Et ce n’est pas ça.
A un certain stade d’intégration du SOI, on peut en arriver à prendre conscience que le monde est parfait et qu’en ce sens il n’y a rien qui « doive » être fait. Et aussi que notre compréhension intellectuelle de la réalité est trop limitée pour savoir ce qui est le mieux dans telle ou telle situation.
Il est possible, dans un premier temps, de « s’approcher » de ce mode de fonctionnement, de privilégier (si on a le choix en tous cas) « ce qui nous est le plus confortable », de « ne pas se contraindre », « de s’écouter », « de rester fidèle à soi-même ». Ainsi, on peut glisser progressivement d’un mode de fonctionnement qui repose essentiellement sur « l’intellect » à un mode de fonctionnement qui fait appel au « ressenti ».
Lorsque le niveau de paix est révélé en soi (lorsque le SOI s’est révélé), il est comme un flot continu de quiétude intérieure. Et « l’action juste » (c’est-à-dire celle qui est en accord avec le mouvement de la Vie, avec la force de Vie) est celle qui émerge (qui est impulsée) sans qu’il y aie de rupture en soi avec ce niveau de quiétude. Dans ce cas-là, l’action s’écoule avec une telle spontanéité qu'on peut avoir le ressenti « je n’agis pas du tout ».
On peut dire que c’est un mode d’action dans lequel « on n’attend rien », « qui n’a pas de but, pas d’objectif », ceci dans le sens « d’un objectif à atteindre, d’un idéal à atteindre ». Car celui qui l’accomplit est déjà dans la quiétude, et dans la conscience « le monde est parfait ».
Il s’avère que le mode d’action qui se met en mouvement sur la base d’une compréhension intellectuelle, même bienveillante, même profonde, est nécessairement limité à cette compréhension intellectuelle, et de ce fait ne peut pas prendre en considération toute la complexité des mouvements de l’univers.
Mais l’action qui jaillit d’elle-même, lorsque « l’enfermement » est dépassé, est un peu comme une plante qui pousse, dans le sens où elle devient managée par la force du vivant elle-même.
Sujets similaires
» Epanouissement de soi et notions de détachements...
» Epanouissement de soi et notions de jugement (de l’autre)
» Agir comme l'eau
» "Non agir" et spiritualité
» Vie spirituelle et notions de détachement...
» Epanouissement de soi et notions de jugement (de l’autre)
» Agir comme l'eau
» "Non agir" et spiritualité
» Vie spirituelle et notions de détachement...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum