Vie spirituelle et notions de détachement...
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Vie spirituelle et notions de détachement...
Bonjour à tous...
Ce que je perçois à ce sujet...
Selon certaines théories spiritualistes, pour vivre d'une façon spirituelle, il conviendrait d'être "détaché" des bonheurs ou des souffrances de la vie.
Toutefois, de toutes évidences, être attaché ‒ à une personne ou des passions ‒ n'est pas en soi un problème. Car l'attachement répond à une nécessité, à un besoin de combler ce qui est ressenti en soi comme une carence. Ainsi, le désir de "détachement" ne peut s'élever en soi que sur la base d'un idéal spirituel ‒ lequel génère une division intérieure qui nous amène à refouler notre émotionnel, refouler tout ce qui en soi touche à l'affectif. Il ne peut avoir un effet que sur le plan superficiel de notre esprit et laisser la base sur lequel il s'élève ‒ la carence affective ‒ complètement enfoncée et invisible, enfouie dans le subconscient.
Vivre l'attachement, c'est vivre pleinement la vie.
Ainsi, si notre émotionnel n'est pas refoulé, si notre émotionnel est pleinement vécu, il s'ouvre. Il s'ouvre et laisse percevoir cela même qui le constitue, c'est-à-dire une conscience détachée par nature.
Il convient donc d'accepter d'être la vague, d'accepter d'être "soi", pour se donner la chance de pouvoir se reconnaître dans l'unité avec l'océan.
Ce que je perçois à ce sujet...
Selon certaines théories spiritualistes, pour vivre d'une façon spirituelle, il conviendrait d'être "détaché" des bonheurs ou des souffrances de la vie.
Toutefois, de toutes évidences, être attaché ‒ à une personne ou des passions ‒ n'est pas en soi un problème. Car l'attachement répond à une nécessité, à un besoin de combler ce qui est ressenti en soi comme une carence. Ainsi, le désir de "détachement" ne peut s'élever en soi que sur la base d'un idéal spirituel ‒ lequel génère une division intérieure qui nous amène à refouler notre émotionnel, refouler tout ce qui en soi touche à l'affectif. Il ne peut avoir un effet que sur le plan superficiel de notre esprit et laisser la base sur lequel il s'élève ‒ la carence affective ‒ complètement enfoncée et invisible, enfouie dans le subconscient.
Vivre l'attachement, c'est vivre pleinement la vie.
Ainsi, si notre émotionnel n'est pas refoulé, si notre émotionnel est pleinement vécu, il s'ouvre. Il s'ouvre et laisse percevoir cela même qui le constitue, c'est-à-dire une conscience détachée par nature.
Il convient donc d'accepter d'être la vague, d'accepter d'être "soi", pour se donner la chance de pouvoir se reconnaître dans l'unité avec l'océan.
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