Pardonner et... se libérer...
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Pardonner et... se libérer...
Bonjour à tous...
Dans « l’essai » ci-dessous je parle par expérience et je ne voudrais pas affirmer quelque chose sans l’avoir moi-même expérimenté, et ceci de façon à rester bien en phase avec le réel et ainsi ne pas m’évaporer dans des concepts, ou dans la répétition de ce que d’autres ont déjà dit.
Il me semble qu’à travers le processus du « pardon » qui pourrait se définir par « comment pardonner à l’autre les blessures qu’il a pu nous affliger », c’est tout le processus de la libération intérieure qui se dessine, qui se révèle.
Car on ne peut visiblement « pardonner » à l’autre que si nous sommes libres, ce qui revient à dire « guéris » des blessures qu’il a pu nous infligées. Cela signifie qu’il n’y a véritablement pardon que si l’on a retrouvé ce bonheur intérieur qui se situe en profondeur en soi et qui est un niveau de soi qui est libre par nature.
Donc, c’est vers le processus de résilience qu’il conviendrait de s’orienter, mais pas seulement pour pouvoir pardonner à l’autre, mais parce que ce processus de résilience est en quelque sorte le processus de libération intérieure. Et c’est bien sûr ce deuxième point qui est important dans nos vies, qui fait que l’on peut passer d’une vie d’esclave et de souffrance à une vie de liberté.
Alors, à ce stade il se pose la question du comment, « comment faire », qui est la question la plus essentielle…
Très simple, mais aussi très complexe…
En fait il n’y a pas véritablement de moyen qui pourrait nous guérir, car le processus de la guérison est l’œuvre de l’intelligence du Vivant, et ceci de la même manière que si l’on s’entaille le bout du doigt, on n’a pas de méthode qui permettrait que la guérison se fasse, car celle-ci au final est le fait de la nature en soi, de l’intelligence de la vie. Et ceci même s’il est vrai que l’on peut désinfecter et protéger la blessure. La guérison en elle-même se fait… toute seule…
Comprenant cela il serait bien présomptueux de donner un moyen ou une méthode qui nous permettrait de guérir de nos propres blessures intérieures, nos traumatismes.
Toutefois on peut en quelque sorte « ouvrir », et nous orienter vers cette direction qui est de comprendre et même ressentir du fond de soi que l’on n’a aucun moyen d’agir directement sur la blessure et ainsi parvenir à une sorte d’accueil intérieur de ce qui est douloureux en soi et en conséquence ouvrir vers ce niveau de soi qui est « source » de toutes guérisons.
De fait il sera sans doute plus utile de voir comment notre regard sur la situation pourra être modifié, non pas que l’on devrait se mentir à soi-même, mais que l’on pourrait envisager d’autres regards, d’autres façons de percevoir la vie et le monde, comme plausibles.
Pour que ce changement d’angle du « regard intérieur » puisse survenir il semble essentiel que naisse en soi ce désir de libération, (ou d’aller mieux). Nous pourrions croire que nous avons ce désir d’une manière innée, mais il apparait que si notre désir d’accroissement du bonheur et de transformation intérieure ne supplante les schémas auxquels nous sommes mentalement attachés nous restons comme figés dans ces schémas, dans ces structures qui ont été le moteur de notre vie passée…
Donc, que voulons-nous réellement ? Voilà la question qui se pose… Et c’est sans doute le premier point de ce processus de libération.
Belle journée à tous...
Dans « l’essai » ci-dessous je parle par expérience et je ne voudrais pas affirmer quelque chose sans l’avoir moi-même expérimenté, et ceci de façon à rester bien en phase avec le réel et ainsi ne pas m’évaporer dans des concepts, ou dans la répétition de ce que d’autres ont déjà dit.
Il me semble qu’à travers le processus du « pardon » qui pourrait se définir par « comment pardonner à l’autre les blessures qu’il a pu nous affliger », c’est tout le processus de la libération intérieure qui se dessine, qui se révèle.
Car on ne peut visiblement « pardonner » à l’autre que si nous sommes libres, ce qui revient à dire « guéris » des blessures qu’il a pu nous infligées. Cela signifie qu’il n’y a véritablement pardon que si l’on a retrouvé ce bonheur intérieur qui se situe en profondeur en soi et qui est un niveau de soi qui est libre par nature.
Donc, c’est vers le processus de résilience qu’il conviendrait de s’orienter, mais pas seulement pour pouvoir pardonner à l’autre, mais parce que ce processus de résilience est en quelque sorte le processus de libération intérieure. Et c’est bien sûr ce deuxième point qui est important dans nos vies, qui fait que l’on peut passer d’une vie d’esclave et de souffrance à une vie de liberté.
Alors, à ce stade il se pose la question du comment, « comment faire », qui est la question la plus essentielle…
Très simple, mais aussi très complexe…
En fait il n’y a pas véritablement de moyen qui pourrait nous guérir, car le processus de la guérison est l’œuvre de l’intelligence du Vivant, et ceci de la même manière que si l’on s’entaille le bout du doigt, on n’a pas de méthode qui permettrait que la guérison se fasse, car celle-ci au final est le fait de la nature en soi, de l’intelligence de la vie. Et ceci même s’il est vrai que l’on peut désinfecter et protéger la blessure. La guérison en elle-même se fait… toute seule…
Comprenant cela il serait bien présomptueux de donner un moyen ou une méthode qui nous permettrait de guérir de nos propres blessures intérieures, nos traumatismes.
Toutefois on peut en quelque sorte « ouvrir », et nous orienter vers cette direction qui est de comprendre et même ressentir du fond de soi que l’on n’a aucun moyen d’agir directement sur la blessure et ainsi parvenir à une sorte d’accueil intérieur de ce qui est douloureux en soi et en conséquence ouvrir vers ce niveau de soi qui est « source » de toutes guérisons.
De fait il sera sans doute plus utile de voir comment notre regard sur la situation pourra être modifié, non pas que l’on devrait se mentir à soi-même, mais que l’on pourrait envisager d’autres regards, d’autres façons de percevoir la vie et le monde, comme plausibles.
Pour que ce changement d’angle du « regard intérieur » puisse survenir il semble essentiel que naisse en soi ce désir de libération, (ou d’aller mieux). Nous pourrions croire que nous avons ce désir d’une manière innée, mais il apparait que si notre désir d’accroissement du bonheur et de transformation intérieure ne supplante les schémas auxquels nous sommes mentalement attachés nous restons comme figés dans ces schémas, dans ces structures qui ont été le moteur de notre vie passée…
Donc, que voulons-nous réellement ? Voilà la question qui se pose… Et c’est sans doute le premier point de ce processus de libération.
Belle journée à tous...
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