Shambhala
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Shambhala
Bonjour à tous...
Deux textes cités en préface du livre de Chogyam Trungpa "Shambhala" aux éditions Sagesse, cliquer ICI
"Cet esprit craintif, bercez-le dans le berceau de la bienveillance en l'allaitant au lait profond et clair du non-doute éternel.
A l'ombre fraiche de la vaillance, éventez-le avec l'éventail du plaisir et de la joie.
Quand il sera plus grand, conduisez-le au terrain de jeu qui de lui-même existe parmi les divers spectacles de phénomènes.
Lorsqu'il aura grandit davantage, pour épanouir la confiance primordiale, conduisez-le au champ de tir à l'arc des guerriers.
Lorsqu'il aura grandit encore plus, pour éveiller la nature de soi primordiale, faites-lui voir la socièté des hommes dotée de force et de dignité.
Alors, cet esprit craintiif pourra devenir l'esprit du guerrier, et cette confiance éternellement jeune pourra s'étendre dans l'espace sans commencement ni fin :
Là, il verra le Soleil du Grand Est."
"Du grand miroir de l'univers, sans commencement ni fin, se manifesta la socièté humaine ; alors surgirent la libération et la confusion.
Quand apparurent la peur et l'hésitation envers la confiance primordialement libre, d'innombrables mutitudes de lâches se levèrent.
Quand la confiance primordialement libre devint source d'inspiration et de réjouissance, d'innombrables multitudes de guerriers se rallièrent.
Les lâches se cachèrent dans les cavernes et les jungles ; ils tuèrent leurs frères et soeurs et mangèrent leur chair. Ils suivirent l'exemple des bêtes et semèrent entre eux la terreur ; ainsi s'otèrent-ils eux-mêmes la vie.
Ils allumèrent un grand feu de haine et troublèrent sans cesse la rivière de la luxure. L'âge des famines et des pestes survint.
De ceux qui se dévouèrent à la confiance primordialement libre, les grands rassemblement de guerriers, certains partirent pour les hautes montagnes et y érigèrent de magnifiques chateaux de cristal.
D'autres s'en allèrent aux pays majestueux des lacs et des îles et y batirent de splendides palais.
D'autres enfin s'établirent dans les plaines charmantes et y semèrent l'orge, le riz et le blé.
Ils furent toujours libres de querelles, toujours aimables et très généreux ; sans besoin d'encouragement, par leur simple insondabilité qui existe d'elle-même, ils furent à jamais dévoué au Rigdem impérial."
Amitié
Deux textes cités en préface du livre de Chogyam Trungpa "Shambhala" aux éditions Sagesse, cliquer ICI
"Cet esprit craintif, bercez-le dans le berceau de la bienveillance en l'allaitant au lait profond et clair du non-doute éternel.
A l'ombre fraiche de la vaillance, éventez-le avec l'éventail du plaisir et de la joie.
Quand il sera plus grand, conduisez-le au terrain de jeu qui de lui-même existe parmi les divers spectacles de phénomènes.
Lorsqu'il aura grandit davantage, pour épanouir la confiance primordiale, conduisez-le au champ de tir à l'arc des guerriers.
Lorsqu'il aura grandit encore plus, pour éveiller la nature de soi primordiale, faites-lui voir la socièté des hommes dotée de force et de dignité.
Alors, cet esprit craintiif pourra devenir l'esprit du guerrier, et cette confiance éternellement jeune pourra s'étendre dans l'espace sans commencement ni fin :
Là, il verra le Soleil du Grand Est."
"Du grand miroir de l'univers, sans commencement ni fin, se manifesta la socièté humaine ; alors surgirent la libération et la confusion.
Quand apparurent la peur et l'hésitation envers la confiance primordialement libre, d'innombrables mutitudes de lâches se levèrent.
Quand la confiance primordialement libre devint source d'inspiration et de réjouissance, d'innombrables multitudes de guerriers se rallièrent.
Les lâches se cachèrent dans les cavernes et les jungles ; ils tuèrent leurs frères et soeurs et mangèrent leur chair. Ils suivirent l'exemple des bêtes et semèrent entre eux la terreur ; ainsi s'otèrent-ils eux-mêmes la vie.
Ils allumèrent un grand feu de haine et troublèrent sans cesse la rivière de la luxure. L'âge des famines et des pestes survint.
De ceux qui se dévouèrent à la confiance primordialement libre, les grands rassemblement de guerriers, certains partirent pour les hautes montagnes et y érigèrent de magnifiques chateaux de cristal.
D'autres s'en allèrent aux pays majestueux des lacs et des îles et y batirent de splendides palais.
D'autres enfin s'établirent dans les plaines charmantes et y semèrent l'orge, le riz et le blé.
Ils furent toujours libres de querelles, toujours aimables et très généreux ; sans besoin d'encouragement, par leur simple insondabilité qui existe d'elle-même, ils furent à jamais dévoué au Rigdem impérial."
Amitié
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