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Alimentation : pathologies dérivées d'une mauvaise alimentation et corrections possibles

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Alimentation : pathologies dérivées d'une mauvaise alimentation et corrections possibles Empty Alimentation : pathologies dérivées d'une mauvaise alimentation et corrections possibles

Message par Jean-Yves Mar 28 Avr 2020 - 14:39

Bonjour à tous,

J'ai vu ce matin un reportage sur l'obésité et le diabète de type 2 qui touche de plus en plus de monde, même les enfants, c'est un hécatombe ! Cela m'a incité à mettre à disposition la doc ci-dessous.

Voici donc un récapitulatif des pathologies induites par telle ou telle mauvaise habitude alimentaire liées à notre monde dit "civilisé", ainsi que les corrections que nous pouvons apporter.

Ainsi, pour chaque "mauvaise habitude" citée ci-dessous, vous trouverez les "pathologies induites" et les "corrections possibles". Les listes ne sont pas exhaustives, et vous pouvez bien entendu ajouter en commentaire toutes les idées à ce sujet...

Avant tout je tiens à préciser que l'objectif de cette synthèse est davantage de susciter une réflexion sur l'alimentation que de définir ce qu'il convient de manger ou ne pas manger pour être en bonne santé.
Car même s'il existe des grandes lignes, il n'y a pas de régime idéal qui conviendrait à tout le monde. C'est donc à chacun de voir ce qui lui convient ou non, et ceci en fonction de ses affinités, de sa physiologie, de ses capacités digestives et de ses habitudes. De plus, nos besoins peuvent varier d’un moment à l’autre, d’où l’importance de parvenir, à terme, à une sorte d’autoréférence dans nos choix alimentaires ; autoréférence qui passe par un "ressenti". Si nous sommes équilibrés, il y a un niveau de soi qui nous incite à manger ce qui nous convient d'une manière totalement intuitive.

Je dis bien "à terme" car dans la plupart des cas : Notre corps n'a plus les bons vecteurs, les bons facteurs reconnaissants de ce qui lui convient comme nourriture. Afin d'accroître ou maintenir ses bénéfices, l'industrie agroalimentaire a trafiqué les goûts avec des exhausteurs et des additifs. Trop de sucre, trop de sel dès le plus jeune âge perturbe l'apprentissage du goût. En conséquence il est nécessaire de passer en premier lieu, dans la plupart des cas, par une approche intellectuelle des besoins de notre corps.
Il sera donc nécessaire d’associer une analyse intellectuelle de nos besoins nutritionnels avec cette recherche du plaisir.
Il est cependant important de repenser de temps à autre à cette intelligence de "intuition/physiologie" de façon que lorsque l'on se retrouve devant un plat, on se pose la question : "Est-ce que j'ai vraiment envie de manger ce plat ?"
Se faire plaisir quand on mange : C'est un point important, car si on mange sous une contrainte (extérieure ou bien que l'on se crée soi-même pour suivre une mode par exemple) on se stresse et c'est défavorable à la digestion et à l'assimilation.

Dans le même ordre d’idée, si on considère que l'on doit changer nos habitudes alimentaires, il est nécessaire d'amener ces modifications sans brutalité et peut-être d'une manière progressive (à voir selon les personnes) ‒ en restant bien sur ce fil du bonheur ‒ ceci afin de ne pas brusquer la physiologie et pour que de nouvelles habitudes alimentaires s'intègrent durablement. Rester doux avec soi-même. (A noter que selon l’Ayurvéda , il est préférable de ne pas modifier notre alimentation trop brutalement car il faut un certain temps pour que notre physiologie s’habitue à de nouveaux aliments)
Et bien sûr, il est recommandé de ne pas faire de régimes restrictifs (mais de retrouver progressivement un équilibre alimentaire), car les régimes provoquent une frustration que l’on aura besoin de compenser par la suite par un surplus alimentaire. Ils sont donc contre productifs (lorsque nous pratiquons une diète restrictive et forcée, nous envoyons à notre corps un signal qui l’incitera par la suite à stocker davantage pour une prochaine possible pénurie)
Donc il s’agit surtout de retrouver un équilibre au niveau alimentaire, et un équilibre qui va nous convenir à nous... et pas nécessairement au « voisin ».

En résumé et en pratique : (chaque point est développé plus en détail ci-dessous)

• Voir dans un premier temps ce que l’on peut modifier sans contrainte dans notre alimentation pour aller vers un mieux (« le plus long des voyages commence par un premier pas » Proverbe tibétain).

Par exemple...
Supprimer (ou réduire) le sucre raffiné (il provoque une cascade de pathologies)
o A remplacer par  Sucre bio complet (intégral ok) de canne ou de fleur de coco.
o Supprimer (ou réduire) les plats préparés et aliments transformés (sauf peut-être les bio de manière ponctuelle)
o Penser au chocolat noir (sans excès) en cas d’addiction au sucre (pour le magnésium)
• Faire soi-même sa sauce pour la salade (Ex : 1/3 vinaigre de cidre + 1/3 huile l’olive bio + 1/3 huile de colza bio + aromates). Préférer en bio et première pression à froid pour les huiles. Pour les aromates, ceux qui ne sont pas bio sont irradiés (ionisés) afin de les conserver plus longtemps. Le souci, c’est vraisemblablement ils perdent ainsi leurs propriétés.
o Le vinaigre de cidre est, entre autre, réducteur de l’acidose (celle-ci provoque différentes pathologies et peut être la cause d'un état inflammatoire chronique. De plus, c’est un coupe faim naturel et il contient différentes vitamines.
o L’huile d’olive est, entre-autre, un anti-inflammatoire.
o L’huile de colza est riche en omégas 3. (anti-inflammatoires et fluidifiants sanguins) ; de plus ils favorisent l’élasticité des artères (protection cardio...)
 Les inflammations chroniques sont le terrain propice au développement de différentes maladies et souvent la cause de douleurs récurrentes  arthrite...etc.
• Privilégier les aliments bruts (non transformés)
• Privilégier le bio (les pesticides sont entre-autres une menace pour la fertilité)
o Si on doit faire un choix sur le bio : priorité aux œufs, aux huiles et au riz (Au niveau mondial ce sont les producteurs de riz qui consomment le plus de pesticides par hectare.)
• Cuisson des aliments à l’huile d’olive (sans la faire fumer)
o Ou bien cuisson à la vapeur ou au wok à une température assez basse
• Augmenter la consommation d’oméga 3... huile de colza, poissons gras (sardines...)
o Si besoin supplémenter en oméga 3
 Ceux-ci sont anti-inflammatoires et fluidifiants sanguins ; de plus ils favorisent l’élasticité des artères (protection cardio...)
• Les inflammations chroniques sont le terrain propice au développement de différentes maladies et souvent la cause de douleurs récurrentes  arthrite...etc.

• Privilégier les farines sans gluten (sarrasin, riz, châtaigne, millet, soja, quinoa) pour faire de la pâtisserie, et aussi la farine de petit épeautre (très intéressante) qui contient moins de gluten.
• Eventuellement (si cela nous convient, nous plait...) : Manger 7 amandes tous les matins (les laisser tremper dans l’eau toute la nuit, retirer la peau et la jeter, puis bien les rincer avant de les manger  ce procédé permet de démarrer la germination, multipliant ainsi la quantité de vitamines ; de plus il rend les minéraux plus facilement assimilables.
• Etc...
Penser au régime méditerranéen ou crétois...

L'alimentation est l'un des piliers de la naturopathie.

Ainsi, ce que nous mangeons, que ce soit en terme de qualité, de quantité, et même la façon dont nous prenons notre nourriture (atmosphère apaisée ou dans le stress), est primordial pour le maintien de notre santé.
A un tel point qu'Hippocrate, qui est considéré de nos jours comme le "père" de la médecine, disait, il y a de cela plus de 2000 ans :

"Que ta nourriture soit ton médicament, et que ton médicament soit ta nourriture !"

Privilégier si possible la consommation de produits :

o Locaux (afin de réduire au maximum l’impact écologique lié au transport)
o De saison car ils sont souvent moins chers et mieux adaptés au besoin de notre physiologie (en relation avec la saison).
o Bio  La France est la vice-championne d’Europe des pesticides. (les pesticides ont un impact néfaste sur la santé)  la plupart peuvent altérer la fertilité, le système nerveux central et immunitaire. La ministre de la santé, Marisol Touraine, a proposé qu’une limite maximale dans l’alimentation soit fixée). Si on doit choisir pour le bio, privilégier les huiles et les œufs, le riz (Au niveau mondial ce sont les producteurs de riz qui consomment le plus de pesticides par hectare.)
• Un rapport de l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) confirme le lien entre l’exposition à des pesticides et : Cancer du système lymphatique et de la prostate, myélomes multiples, leucémie, Parkinson, Alzheimer, divers troubles cognitifs et des impacts sur la fertilité et fécondabilité.
 On pourrait croire que consommer du bio revient plus cher, mais ce n’est pas nécessairement le cas. Les produits bio sont plus nourrissants (ils doivent porter le sigle AB, ou autre sigle reconnu).
• De plus ce mode de calcul sur le prix bas de produits non-bio ne tient pas compte de leurs coûts collatéraux en termes de santé et dépollution des sols.
 Nos choix alimentaires sont aussi une action citoyenne. Nous commandons à la société à travers nos choix. Si à l'heure actuelle, nous voyons un accroissement des ventes de bio par exemple, c'est parce qu'il y a des demandeurs. Sinon c’est l’industrie agro-alimentaire qui nous commande et nous conditionne à coup de matraquage publicitaire pour que nous continuions à acheter leurs produits (miel chinois falsifié  mélange de sucre industriels et d’arôme (préférer un miel bio français) ; confiture de fraises sans fraises ; gonfler les produits avec de l’eau pour augmenter leurs poids et ajouter des additifs (Leclerc a du récemment retirer des filets de dinde remplis d’eau suite à une pétition lancée par l’association Foodwatch)).

Je vais donc :
1. Faire un peu un état des lieux sur les mauvaises habitudes alimentaires le plus souvent adoptées de nos jours.
2. Évoquer les pathologies les plus fréquemment induites par ces habitudes alimentaires.
3. Suggérer des pistes qui devraient permettre de rétablir l'équilibre et en conséquence la santé.

Ouvrage du docteur Jean Seignalet

Mon intention n’est pas ici de vous inviter à suivre le régime qu’il préconise, car il peut être très contraignant, mais de sensibiliser à l’impact de l’alimentation sur la santé.

Pour de très nombreuses maladies, il a conseillé à ses malades un régime hypo toxique, et dans la plupart des cas, avec un succès remarquable. Par exemple :
Arthrose : changement nutritionnel sur 118 patients atteints d’arthrose  amélioration sur 111 d’entre eux (modéré pour dans 12 cas). Important et parfois spectaculaire pour 99 cas.
Le régime qu’il préconise peut être conseillé en cas de pathologies importantes

Ouvrage de référence :
L’alimentation ou la troisième médecine aux éditions du Rocher


Je vais commencer ici par les modes alimentaires qui me paraissent les plus néfastes...

Consommation excessive de sucre (surtout raffiné) :


A ce sujet, tous les naturopathes sont d’accords  le sucre raffiné est à éviter ! (voire à supprimer de notre alimentation)
• Il ne contient ni minéraux, ni vitamine, il est vide. Et comme le corps à besoin de vitamines pour l’assimiler, notamment la vit B, il doit puiser dans ses réserves, d’où fatigue...
• Index glycémique élevé  fatigue + hypoglycémie réactionnelle.
• Sucre complet bio  nocif en surconsommation « C’est la dose qui fait le poison ! » (et c’est vrai pour tout aliment !)
o D’où l’importance de ne pas se nourrir avec excès d’un seul aliment ou type d’aliment, surtout en cas d’intestin poreux ; cela peut générer des intolérances alimentaires, des allergies.


En 1900, la consommation mondiale de sucre était de 5 kg en moyenne par personne et par an. Elle est aujourd’hui de… 20 kg ! Et de 36 kg en France…
Le sucre le plus consommé ? Le blanc, le plus ordinaire, le raffiné qui, malgré son nom est grossier puisque nettoyé, purifié, traité. Élément de base de l’industrie agroalimentaire, il est partout, en agent de conservation, de fermentation et de coloration. Non seulement, il est vide et n’apporte rien à l’organisme, mais il est en grande partie responsable de la fulgurante vague d’obésité dans les pays industrialisés. Son action est rapide, il passe, fournit une énergie éphémère, suivie d’une baisse de tonus et d’un pic d’insuline incontournable pour réguler le taux de glucose dans le sang.
Le sucre roux n’est pas bien meilleur, car il subit les mêmes traitements mais est, tout simplement, un peu moins « purifié ».
Le sucre complet de canne (Il n’existe pas de sucre complet de betterave, tout simplement parce que son goût serait désagréable. Le sucre complet est donc un sucre de canne cristallisé qui n’a pas été totalement épuré de sa mélasse.) obtenu par extraction mécanique, ne subit aucun raffinage. Son grand avantage nutritif : la conservation de tous ses sels minéraux, oligo-éléments, notamment le magnésium et le fluor. Quant aux vitamines et acides aminés contenus dans le sucre complet de canne, ils sont d’une importance nutritive primordiale en particulier pendant la croissance des enfants et pour les femmes enceintes.
Quelle est la différence entre un sucre blanc et raffiné et un sucre complet biologique ?
Le sucre blanc (le saccharose) provient de la canne à sucre ou de la betterave. Par divers procédés chimiques, on arrive à un produit très concentré mais dépourvu de tout intérêt nutritionnel. Le sucre complet, quant à lui, est un sucre de canne cristallisé qui a conservé une partie de sa mélasse. Il renferme des enzymes, des vitamines, des acides aminés. Il contient des sels minéraux, du fer, du calcium. Alors que le sucre blanc en est dépourvu, le sucre complet apporte des vitamines B1, B2, B5, E et du magnésium.
Attention à l'arnaque cependant : le sucre roux vendu en grandes surfaces est souvent du sucre blanc rehaussé avec des colorants ou caramélisé (en le chauffant).

• Le sucre dans les plantes ou les fruits est toujours associé à des nutriments qui permettent son assimilation.
• Le sucre complet apporte des vitamines B1, B2, B5, E et du magnésium, il contient 50 fois plus de sels minéraux que le sucre blanc, 80 fois plus de fer, 10 fois plus de calcium.
• Le sucre raffiné (notre organisme n’a aucun besoin de sucre raffiné) (qu’il soit blanc ou roux) est vide de nutriments. En conséquence, l’organisme doit puiser dans ses réserves de vitamines pour l’assimiler, ce qui entraîne une fatigue profonde. En d’autres termes, si on mange beaucoup de sucre, il ne faut pas être étonné si on est toujours fatigué.
• Présence du sucre raffiné dans les sodas, cocas...etc. (180 000 décès/an dans le monde) de plus comme on les boit frais, on perçoit moins le gout sucré.
 Mais aussi dans le ketchup, la charcuterie (+ sel, exhausteurs de goût + nitrite)...etc.

Les édulcorants (substituts de sucre) :
Ils trompent l’organisme et induisent une sensation de manque, car notre organisme fait l'association entre "goût sucré" et "apport d'énergie", et comme l'apport d'énergie n'est pas satisfait, on est ensuite amené à manger davantage pour compenser (des expériences ont été faites à ce sujet).

Pathologies induites :

• Dépression (Les chercheurs ont aussi démontré que l’hyperglycémie chronique favorisait les risques d’inflammation cérébrale, ce qui pouvait entraîner une dépression. Ces effets toucheraient plus particulièrement les adolescents. Une étude récente de la faculté de médecine de l’université d’Emory, menée sur de jeunes rats, a établi un lien entre la surconsommation de sucre et les comportements dépressifs et anxieux.) http://www.huffingtonpost.fr/2015/04/09/sucre-cerveau-memoire-depression-stress-senilite-on-fait-point_n_7031354.html
o Une étude multicentrique incluant plusieurs pays dont le Canada et la France a établi une forte corrélation positive entre la consommation de sucre raffiné et les taux de dépression
o A noter qu’il y a ici une sorte de cercle vicieux qui s’installe, l’état dépressif augmentant le désir de sucre pour compenser, et l’accroissement de la consommation de sucre aggravant l’état dépressif.
Lorsque l’on mange un aliment sucré, notre cerveau produit de la dopamine. Cette substance apporte plaisir et euphorie à l’organisme. Stimulé régulièrement par un apport de sucre, celui-ci devient dépendant, car le cerveau s’adapte et fabrique davantage de récepteurs à dopamine. Et comme il faut satisfaire ces récepteurs, on mange de plus en plus de sucre.
o De plus, le sucre raffiné, du fait de l’instabilité qu’il provoque, accroit l’agressivité.
• Acidose
• Cancers (la cellule cancéreuse se nourrit de sucre ; à noter qu’elle est incapable de jeûner, d’où l’intérêt du jeûne pour ce problème, si toutefois on a une vitalité suffisante  à adapter à chaque situation...
• Obésité (le sucre non utilisé par le corps se transforme en graisse.)
o Pour lutter contre l’obésité, penser aussi à manger lentement et à bien mâcher les aliments  sinon l’organisme ne les assimile par correctement ; et de plus il faut compter 20 minutes pour que survienne le sentiment de satiété)
o Penser aussi au vinaigre de cidre qui est un coupe faim naturel et qui de plus a d’excellentes propriétés.
• Diabète : le nombre de diabétique a quadruplé en 35 ans (première cause d’amputation et d’infarctus en France, l’une des premières de la cécité. L’excès de sucre dans le sang abime les artères, les veines et petits vaisseaux ; de plus c’est une maladie sournoise car le sucre intoxique les nerfs  on ne ressent plus les douleurs lorsqu’il y a une blessure, notamment au niveau des pieds  risque d’amputation)
o Faire de l’exercice +++
o Réduire la consommation de sucre.
o Le Kudzu aurait une action contre le diabète.
• Facteur propice à l’apparition de la maladie Alzheimer
• De plus, le sucre réduit le nombre de globules blancs, d’où un affaiblissement du système immunitaire (il faut faire davantage attention à la consommation de sucre en hiver)

Corrections possibles :

• Limiter (ou stopper) la consommation de sucre raffiné (une bonne idée est tout simplement de ne pas en avoir chez soi)
o Eviter les plats préparés, les aliments transformés (riches en sucre, sel et exhausteurs de goûts). Les plats préparés et aliments transformés (sauf peut-être les bio de manière ponctuelle)
• Au sucre raffiné, préférer :
o Le sucre bio complet de canne, du genre "Rapadura" qui au moins amène les nutriments nécessaires à son assimilation (Vitamines du groupe B, magnésium, lequel contribue notamment à la transmission nerveuse et à la relaxation musculaire). [Parmi les bonnes sources de magnésium, il y a le cacao et le chocolat (noir de préférence), les oléagineux secs (noix du Brésil, amandes, noix), le sarrasin, les produits céréaliers complets, gingembre et curcuma.]
o Le sucre bio de fleur de coco dont l’index glycémique est bas.
o Le miel  (ne jamais le chauffer sinon il devient toxique, "cancérigène", si vous souhaitez l’utiliser pour sucrer votre tisane, attendez que celle-ci soit tiède.) Préférer le miel bio français car il existe des miels falsifiés qui sont un mélange de sucre industriels et d’arôme (Une étude américaine du Food Safety News Group estime que plus des trois quarts des miels vendus dans les grandes surfaces américaines n’en sont pas vraiment)
• A noter qu’il existe du ketchup bio sans sucre (voir dans les magasins bio)
• Remplacer le chocolat au lait (si on en consomme) par du chocolat noir (magnésium) (car il s’agit de réhabituer progressivement la physiologie à des quantités moindres de sucre)
• Faire de l’exercice physique (importance de la respiration)
• Revenir à une alimentation plus équilibrée  l’absence de protéine complète au déjeuner incite au grignotage (pulsions vers le sucré) durant l’après-midi (car on ressent alors une sorte de manque que l’on envie de combler).
• Supplémentation en Vitamines du groupe B (notamment la B3, et plus spécifiquement la nicotinamide, car elle agit sur les dysfonctionnements en sérotonine. Il est cependant préférable de prendre un complexe de vitamines B), en calcium, magnésium (régulateur nerveux), potassium, Vitamines C, tryptophane, tyrosine et méthionine.
• Certains aliments et compléments alimentaires permettent de diminuer notre envie de sucre. Il y a notamment la spiruline et la chlorella qui aident grandement au métabolisme du sucre et en amoindrissent donc l’envie.
• Sinon, le fait de manger de l’artichaut de Jérusalem, des laitues ou encore des carottes crues, avant et après les repas, enlève également l’envie de sucre.


Consommation excessive d'aliments contenant du gluten [risque d'allergie (et/ou) d'intolérance au gluten]
Le gluten (ce mot signifie colle) est la protéine contenue naturellement dans le blé (pain, pâtisserie, pâtes…) mais aussi dans le kamut, l’épeautre, l’orge, le seigle et l’avoine ; il donne au pain son élasticité. Il est également présent dans de nombreux aliments industriels, transformés et plats préparés sous forme d’épaississant ou de liant par exemple. Les boissons réalisées à partir de céréales comme la bière ou le whisky contiennent du gluten.
Il est aussi présent dans de très nombreuses charcuteries (à l’exception du jambon), dans des fromages frais et dans les produits allégés. Le gluten peut aussi être présent dans d’autres aliments tels que la sauce soja, le vinaigre de malt et un grand nombre d’assaisonnements.

Selon toute vraisemblance, c’est la consommation en excès du gluten qui cause le problème.

Pathologies induites :

• Allergies et intolérances au gluten sont deux mécanismes différents (Le gluten est un ensemble de protéines que l'on retrouve naturellement dans les grains de nombreuses céréales (blé, seigle, orge, kamut, etc.).
o L'allergie au gluten Chez la personne allergique, le système immunitaire manifeste une réaction anormale aux protéines du blé et présente des symptômes analogues à ceux qui sont provoqués par d’autres allergies alimentaires. Les réactions sont immédiates après l’ingestion de blé et peuvent aller d’éruptions cutanées mineures à de graves difficultés respiratoires.
o l'intolérance au gluten ou "maladie cœliaque", elle, est plus sournoise et plus difficile à diagnostiquer. C'est une maladie auto-immune, c'est-à-dire qu'on produit des anticorps dirigés contre l'intestin qui vont induire au bout d'un certain nombre d'années ou de mois, une destruction des villosités intestinales. Il existe des allergies au blé, des allergies alimentaires mais elles sont totalement différentes de l'intolérance au gluten. L’intolérance au gluten est la plus fréquente (entre 10 et 40% de la population serait concernée d’après des études préliminaires).

Symptômes de la maladie cœliaque : Il s’agit le plus souvent de fatigue, diarrhées, ballonnements, maux de tête et douleurs articulaires.
L’implication du blé moderne dans de nombreux problèmes de santé très courants comme l’eczéma, la spondylarthrite, le psoriasis, l’arthrose, le côlon irritable, l’acné, les maladies auto-immunes...

Corrections possibles :

• Réduire la consommation d'aliments contenants du gluten (ne pas oublier que certaines charcuterie, sauces, produits transformés en contiennent)
• Remplacer (pour les pâtisseries ou les crêpes par exemple) les farines contenant du gluten par d'autres farines (en les mélangeant) qui n'en contiennent pas (farine de sarrasin, riz, châtaigne, millet, quinoa, chia (le chia contient tous les acides aminés essentiels et de plus est une source directe d'oméga-3 et d'oméga-6), amarante...)
o Introduire le petit épeautre (il est différent de l’épeautre) (riche en fibres, minéraux, acides aminés et vitamines) ; le petit épeautre contient moins de gluten, et il est souvent mieux toléré que celui du blé. De plus cette céréale est très riche en magnésium, ce qui permet de lutter contre le stress et de favoriser le sommeil le soir).
• A noter qu'il existe des pâtes sans gluten en magasin bio.
• Remplacer le pain de temps à autre par :
o Des galettes soufflées (de riz, ou sarrasin ou quinoa...)
o Des tartines bios craquantes (genre « pains des fleurs) au sarrazin ou autre
• Découvrir la richesse de notre alimentation en dehors du blé : lentilles vertes, lentilles corail, pois chiches, riz rouge, riz de Camargue, sarrasin, teff, amarante, patate douce, panais, soja, haricots azuki, pois cassés... Tous ces aliments sont plus riches en vitamines et en minéraux que le blé moderne.

Le petit épeautre :

Aujourd'hui "le petit épeautre" fait partie du patrimoine alimentaire culturel de Haute Provence où il figure autant à la table des paysans que dans les menus gastronomiques. Cette ambivalence vient du fait que, sous un goût agréable, cette céréale a un haut rendement énergétique. Les Anciens avaient déjà constaté cette valeur puisqu'ils le considéraient comme une céréale chaude ou tempérée alors que les autres céréales, hormis le froment et l'avoine, étaient des céréales froides.
Cette valeur énergétique est due à l'alchimie de cette céréale particulière. Comme beaucoup d'autres céréales, le petit épeautre est riche en glucides : 75 % pour 100 g. Cette richesse vient du fait que la plante est adaptée aux terrains secs, pauvres, pierreux, elle compense sa difficile croissance par une accumulation d'éléments de construction, de réserve et d'énergie tel les glucides. Or ceux-ci, à eux seuls, représentent la moitié de nos ressources énergétiques alimentaires, notre "carburant". Sa teneur en lipides, deux fois celle du blé, participe pour environ 10 % à l'apport lipidique journalier indiqué. Comme ils sont riches en glucides, les grains de petit épeautre ont une bonne valeur calorique, supérieure à toutes les autres céréales.
Une ration de 100 g de petit épeautre à la même valeur calorique qu'une côte de porc de poids équivalent.
Sa composition en éléments minéraux est aussi intéressante et bien équilibrée. Ainsi 100 g de petit épeautre contiennent 4 fois plus de magnésium que son équivalent en riz brun et 5 fois plus que 100 g de steak. De plus, l'absorption du magnésium est favorisée par les protides, ça tombe bien ! Par contre, elle est gênée par un excès de calcium ainsi que par la teneur en acide gras du contenu intestinal. Or, le petit épeautre, toujours 100 g, apporte le quart de la ration journalière conseillée en calcium, l'équivalent de 2 verres de lait. Pour le phosphore, c'est pas mal non plus ! Sa teneur est de 50 % supérieure à celle du blé et fait 5 fois celle du soja. Il favorise la fixation du calcium ! Cent grammes de petit épeautre couvre la moitié du besoin journalier en phosphore. En zinc, c'est 6 fois plus que le riz brun et de 30 % supérieur à celle du blé. Ce n'est pas étonnant que les consommateurs de petit épeautre disent en sortant de table : " Ça tient bien au corps" !
Là aussi le petit épeautre se distingue. Sa teneur en protéines apporte à l'organisme des acides aminés et notamment les huit essentiels. Ceux-ci sont dits "essentiels" parce que non synthétisés par l'organisme, ils ne sont apportés que par l'alimentation. Mais là où le petit épeautre se distingue, c'est qu'il contient à la fois de la lysine et de la méthionine ! Habituellement, les céréales contiennent de la méthionine mais pas de lysine ; c'est pourquoi on les associe souvent aux légumineuses qui elles apportent la lysine mais pas ou peu de méthionine. Le petit épeautre lui, contient les deux ! Sa teneur en lysine est le double de son équivalent en graines de Sésame. Il est également assez riche en proline. Cet acide aminé est un "antigel" végétal. Métabolisé par l'homme, il se transforme en hydroxyproline, un "antigel" de la cellule humaine. On comprend alors pourquoi, les Anciens considéraient le petit épeautre comme une céréale chaude. Cette céréale rustique contient également de l'acide gamma-amino-butyrique ou GABA. Ce composant exerce une diminution de l'activité neuronale. C'est le principal neuromédiateur inhibiteur cérébral, il régule les autres systèmes de transmission nerveuse. Il joue un rôle prépondérant dans l'anxiété.
Si on ajoute à ce tableau, déjà élogieux, sa parfaite digestibilité, on conçoit que le petit épeautre ait été une céréale maîtresse dans l'alimentation du Monde Antique. Aujourd'hui, ces valeurs nutritionnelles et médicinales ne peuvent que susciter de l'intérêt chez les personnes "sensibles" à leur alimentation et au gluten ou les amateurs, de plus en plus nombreux, d'aliments "authentiques".
L’avis du Professeur Henri Joyeux : “Le Petit Epeautre de Haute Provence est une excellente céréale... ses qualités nutritionnelles sont incomparables, ce qui signifie qu’il est situé très haut dans l’échelle des céréales... Si l’on devait éliminer toutes les céréales pour des raisons allergiques, il y en a une que l’on pourrait garder, c’est le petit épeautre, parce que n’étant pas encore modifié génétiquement... Les personnes qui s’occupent de cette culture ont un produit exceptionnel...” Source : http://www.phytovox.fr/article-25749302.html

Consommation d'eau insuffisante ? :

Souvent insuffisante :
Le Dr Fareydoon Batmanghelidj, praticien américain d’origine iranienne a montré que les boissons industrielles, thé, café ou même tisane ne peuvent hydrater convenablement le corps. Leur eau est évacuée directement par le système rénal sans transiter par le milieu cellulaire.
Le thé, le café ou les tisanes ne sont pas équivalents à l'eau pour une bonne hydratation car ils ont souvent un effet diurétique et peuvent provoquer en conséquence une déshydratation.

Pathologies induites

• Acidose
• Déshydratation

Corrections possibles :

• Boire un verre d'eau (ou un peu d’eau) tous les matins au réveil (éviter de le prendre d’une façon mécanique, mais plutôt par petites gorgées, en conscience)
• Penser à boire régulièrement de l'eau au cours de la journée.
Consommation d'eau trop minéralisée ? :

En naturopathie il est conseillé d’éviter les eaux fortement minéralisées (Hépar...) car les minéraux qu’elles contiennent ne seraient pas assimilables par le corps et en conséquence favoriseraient les problèmes rénaux (calculs biliaires) et articulaires.

Pathologies induites :

• Problèmes cutanés
• Problèmes articulaires
• Problèmes rénaux
Corrections possibles :
• Préférer des eaux faiblement minéralisées comme Volvic, Montcalm


Consommation excessive de sel (500 000 décès/an dans le monde)

Préférer le sel non raffiné, qu’il soit marin ou de terre. Il est 100 % naturel et n’a subi aucun processus de transformation chimique. Il contient une majorité de chlorure de sodium mais aussi, naturellement, du magnésium (sous forme de chlorure de magnésium) ainsi que des oligo-éléments bénéfiques pour la santé.

Pathologies induites :

• Hypertension artérielle
• AVC (Accident Vasculaire Cérébral)
• Diabète (Le sel augmente de façon considérable le taux d'absorption de sucre dans le sang, ce qui favorise le diabète de type II, maladie souvent associée à l'obésité. C'est l'une des conclusions auxquelles sont parvenus des chercheurs français de l'Inserm, dans un laboratoire lillois.)

Corrections possibles :

• Goûter avant de saler
• Eviter les plats préparés, les aliments transformés (riches en sucre, sel et exhausteurs de goûts) (sauf peut-être les bio de manière ponctuelle si possible)
• Réduire la consommation de sel.
• Eviter les aliments sucrés salés.
• Penser au Gomasio qui est une association de sel marin et de sésame (le sésame a un pouvoir régulateur de l’hypertension artérielle)
• Préférer un mélange bio de sel marin et de plantes (comme Herbamare par exemple)
• Ou encore, dans la gamme Herbamare : un mélange très pauvre en sodium, convient aux régimes sans sel [Ingrédients : chlorure de potassium, plantes aromatiques et légumes frais (13 % à la mise en œuvre), algue marine kelp]

Consommation de produits raffinés :

• Manque de fibres (les fibres font baisser le taux de cholestérol, régulent la glycémie et permettent un meilleur transit intestinal)
• Consommation insuffisante de vitamines et minéraux

Pathologies induites :

• Carences en minéraux et vitamines
• Acidose tissulaire chronique (Voir le paragraphe ci-dessous qui s’y rapporte)
• Consommation insuffisante de fibres
o Augmentation du taux de cholestérol
o Transit intestinal perturbé

Corrections possibles :

• Supplémentation en nutriments (Algues...)
o Remplacer les produits raffinés par des aliments complets ou semi complets. (A noter toutefois que les pesticides se concentrent sur l'enveloppe des grains des céréales, donc si l'on prend des aliments complets ou semi complets, préférer du bio.) Là encore, il n'est sans doute pas nécessaire d'aller vers du "tout complet", mais plutôt de mitiger.

Consommation de plats préparés, de produits transformés :

Afin d'accroître ou maintenir ses bénéfices, l'industrie agroalimentaire a trafiqué les goûts avec des exhausteurs et des additifs. Trop de sucre, trop de sel, dès le plus jeune âge perturbe l'apprentissage du goût. En conséquence, le corps n'a plus les bons vecteurs, les bons facteurs reconnaissants de ce qui lui convient comme nourriture.

Pathologies induites :

• Maladies liées à une trop grande consommation de sucre, de sel
• Consommation d'exhausteurs de goût

Corrections possibles :

• Revenir à une alimentation plus basique

Les acides gras :


Les acides gras sont indispensables et devraient constituer, selon les recommandations actuelles, 30 à 35 % de notre apport énergétique, dont :
• 5% pour les acides gras saturés.
• 20% pour les acides gras mono insaturés.
• 5% pour les acides gras polyinsaturés.
A noter que certaines vitamines (A, D, E, K) sont liposolubles, c'est-à-dire qu’elles ont besoin de graisse pour être assimilées.


Trop d’acides gras saturés et manque d’acides gras omégas 9 :

Un acide gras saturé est un acide gras ayant des atomes de carbone totalement saturés en hydrogène, ils sont nécessaires à l'organisme mais leur excès est néfaste). En conséquence il est toujours préférable de choisir de privilégier d'autres formes d'acides gras : polyinsaturé et monoinsaturés.
Sources : Acides gras oméga 9 : huile d’olive, avocat (riches aussi en fibres et en antioxydants). Privilégier la cuisine à l’huile d’olive, car elle est de plus riche en antioxydant (régime crétois : 1litre/semaine/personne)
Le gras de canard contient 49 % d’acides gras monoinsaturés, l’huile d’olive en fournit 74 %

Pathologies induites :

• Maladies cardiovasculaires
• Augmentation du taux de cholestérol (LDL) et de triglycérides.
• Obésité

Corrections possibles :

• Augmenter la consommation en acides gras oméga 9
o Pour faire des tartines, préférer la crème d’amande, de sésame... etc. à l’usage du beurre.
• Pour la cuisson, préférer l'huile d'olive (oméga 9) ou l'huile de coco (sans dépasser la température qui produit de la fumée).
• Augmenter la consommation en acides gras oméga 3
o Consommer du poisson (petits de préférence, ils sont moins riches en métaux lourds)
o Consommer des huiles riches en omégas 3 (lin, colza)


Manque d’omégas 3 (mauvais rapport entre oméga 6 et oméga 3) :


Les omégas 3 ont une action antiinflammatoire sur l'organisme, de plus ils sont des fluidifiants sanguins. On estime en général que le rapport oméga-6 pour oméga-3 dans l'alimentation occidentale est de 10 pour1 à 30 pour 1, tandis qu'il devrait idéalement se situer entre 1 pour 1 et 4 pour 1.
Cet excès d'oméga-6 nuit à l'utilisation optimale des oméga-3 par l'organisme. En effet, afin d’être métabolisés, les oméga-3 et les oméga-6 entrent en compétition pour plusieurs enzymes et, dans une moindre mesure, pour plusieurs vitamines (vitamines B3, B6, C, E) et minéraux (magnésium et zinc).

Sources : Acides gras omégas 3 : huile de colza, huile de lin, noix (riches aussi en antioxydants), poissons gras (ceux qui ont la peau bleue +++)  (EPA (artère  antiinflammatoire + antiallergique) et DHA (cerveau))

Pathologies induites :


• Maladies cardiovasculaires (l'inflammation des artères est l’une de ses causes)
• Obésité
• Maladies inflammatoires (arthrites...etc.)
• Cancer

Corrections possibles :

• Suggestion : Pour faire les sauces pour la salade faire un mélange : aromates + 1/3 de vinaigre de cidre, 1\3 d'huile d'olive et 1/3 d'huile de colza (très riches en oméga 3, elle doit être conservée à l’abri de la chaleur et de la lumière (au frigo) et ne se chauffe pas. Elle se garde assez bien, mieux que l'huile de lin, qui est encore plus riche en oméga 3.
• Consommer des poissons gras (riches oméga 3) ; éviter de préférence les gros poissons car ils contiennent moins de métaux lourds.
• Prendre des compléments alimentaires riches en oméga 3 EPA-DHA


Nourriture contenant des acides gras Trans
(existent naturellement en petites quantités dans la viande ou les produits laitiers des ruminants) :

Tant qu’on s’en tenait aux gras trans naturels, qui ne se retrouvent qu’en petites quantités dans la nature, les risques pour la santé étaient pratiquement inexistants. Mais l’omniprésence des gras trans synthétiques dans les produits alimentaires transformés ont de quoi inquiéter les autorités sanitaires. On pense en effet que, au-delà d’un certain seuil (10 g de gras trans par 100 g de matières grasses, soit 10 %), les gras trans pourraient augmenter le risque d’être affecté par des troubles cardiovasculaires.
Or, des chercheurs affirment que, dans les sociétés postindustrielles, le seuil critique est largement dépassé, et ce, depuis quelques décennies déjà. On estime que, aux États-Unis par exemple, la consommation quotidienne de gras trans pourrait s’élever, dans certains cas, à 38,7 g. Selon ces mêmes chercheurs, ces gras trans proviennent à 90 % ou à 95 % des huiles hydrogénées.

Pathologies induites :

• Cancer
• Augmentent le cholestérol LDL
Ils sont produits (entre autres)
o Quand on fait trop chauffer les huiles de cuisson et qu'elles fument
o Par certaines transformations  la margarine avec de l'huile de colza (saint Hubert oméga 3) (car alors il faut la chauffer pour qu'elle devienne solide)  les huiles hydrogénées sont interdites aux USA à partir de 2018.
o Lorsqu’on chauffe des aliments, les protéines et les sucres se combinent. Une réaction de Maillard se produit. Des composés toxiques apparaissent. La réaction de Maillard est une réaction chimique que l'on peut observer lors de la cuisson d'un aliment ; elle correspond à l'action des sucres sur les protéines, et contribue notamment au goût des viandes rôties. C'est durant cette réaction que les acrylamides — considérés comme potentiellement cancérigènes — sont formés.

Corrections possibles :


• Ne jamais faire fumer les huiles lors de la cuisson
• Eviter de trop caraméliser les protéines.
• Préférer les cuissons à basse température
• Préférer un autre aliment à la margarine (avec huile de colza)... (du beurre, de la crème de sésame pour tartiner pendant les repas)

Consommation d’huile raffinée

• Extraites par chauffage ou avec l’utilisation de solvants, elle est dépourvue de tout intérêt nutritionnel  Les antioxydants contenus dans l’huile, dont la vitamine E, sont détruits.

Pathologies induites :

• Manque d’antioxydants  affaiblissement du système immunitaire
Corrections possibles :
• Choisir des huiles bio et de première pression à froid (pour la cuisson ne jamais utiliser les huiles riches en oméga 3 comme l’huile de Colza ou l’huile de lin car elles ne supportent pas la chaleur. Lorsqu’elles sont chauffées elles deviennent des acides gras trans : ceux-ci sont concérigènes)

Consommation excessive de viande :

La viande est souvent considérée comme le meilleur pourvoyeur en protéines. Il s’avère que si on ne prend pas de protéines au déjeuner  carences et grignotages (ce besoin de grignoter provient d’un besoin de compenser une sensation de manque qui est souvent provoquée par ce manque de protéines)

Pathologies induites :

• Acidose
• Excès de cholestérol

Corrections possibles :

• Les œufs  excellentes sources de protéines  ils contiennent tous les AAE (manger le blanc cuit et le jaune pas trop cuit pour préserver les vitamines et les omégas 3  œuf sur le plat, à la coque...)
• Penser aux protéines végétales  le soja, le quinoa et le petit épeautre contiennent tous les acides aminés essentiels (AAE).
• Pour éviter l’excès de viande, penser à la complémentation (Il est bon d’avoir un apport de protéines tous les repas de midi, sinon risque de grignotage ; s’il ne s’agit pas de viande, poisson, ou œuf, il est bon d’associer une légumineuse à une céréale afin d’avoir tous les acides aminés essentiels et d’optimiser leur absorption) (Ex : lentilles + riz, haricots + pain complet, semoule de blé + pois chiches...etc.)

Nourriture trop pauvre en antioxydants :

Il est possible de lutter contre le vieillissement et certaines maladies. La meilleure façon d'y parvenir est de renforcer les armes naturelles de notre organisme. Pour cela, il suffit de limiter la production de radicaux libres et de faire le plein d'antioxydants. Les antioxydants sont des composés qui protègent les cellules du corps des dommages causés par les radicaux libres. Ceux-ci sont des molécules très réactives qui seraient impliquées dans le développement des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies liées au vieillissement.
Toutes les réactions chimiques qui ont lieu dans notre organisme (et il y en a des millions en permanence) utilisent l'oxygène que nous respirons.
Cette réaction chimique à partir de l'oxygène produit des radicaux libres. Or, ces radicaux libres sont toxiques pour l'organisme lorsqu'ils sont en excès.
Nous disposons donc d'un système de défense composé de molécules antioxydantes, lesquelles ont pour vocation de détruire les radicaux libres en excès.
Ce système repose donc sur un équilibre permanent, la production naturelle par l’organisme de radicaux libres d'un côté et l’élimination des radicaux libres par les antioxydants d'un autre.

Pathologies induites :

La plupart des maladies proviennent d’une nourriture trop pauvre en antioxydants.

Corrections possibles :

Les aliments les plus riches en antioxydants :
• Fruits et légumes colorés, Vitamine C, sélénium, zinc...Etc.
• L’acérola, baie de Goji, thé vert, grenade, raisin, poivrons, orange...etc
o Mais aussi dans le café (à boire en quantité modéré 1 ou 2 tasses par jour) : réduction du diabète de type 2, maladies neuro végétatives et des cancers)
o Et aussi dans le chocolat noir (1 à 2 carrés par jour)

Consommation de fruit ou de sucre en fin de repas

Les sucres ne sont pas digérés dans l'estomac mais dans le duodénum qui se situe juste dessous l’estomac (partie haute de l’intestin grêle) il n'y a pas d'enzymes digestives pour le sucre dans la bouche et l'estomac, donc  problème si on mange du sucre en fin de repas (surtout si c’est des fruits car en plus ils contiennent des fibres qui ralentissent la digestion) car ils doivent attendre, d'où risque de fermentation et en conséquence, de ballonnement.
• A noter toutefois  En fin de repas, la compote sans sucre ajouté est plus digeste (car elle est cuite).



(Sur) consommation de lait et de produits laitiers


Pathologies induites :

• Acidose
o Douleurs articulaires chroniques... etc.
http://www.sos-detresse.org/dossiers/arthrite/approche-naturopathique.htm
o Ostéoporose
Quels sont les effets des produits laitiers sur la santé ?

Les pathologies aggravées par la consommation de ces produits
º Les allergies : Il en existe 2 types. Celle aux protéines de lait, les fameuses caséines, qui entraîne eczéma, asthme, régurgitations, diarrhées persistantes cause de retards de croissance, voire bronchiolites chez les bébés et qui signe une réaction violente du système immunitaire.
Il existe aussi une intolérance au lactose, le sucre du lait, dû au manque d'une enzyme, la lactase, chez de nombreux adultes et même chez certains enfants à partir de 3 ans, qui entraîne nausées, ballonnements et douleurs abdominales.
º Cancers et leucémies : La corrélation est claire, c'est dans les pays où l'on consomme le plus de produits laitiers qu'il y a le plus de cancers et notamment ceux du sein et de la prostate. Les habitants de l'Asie, qui n'en mangent pas ou peu sont beaucoup moins sujets aux cancers, notamment au Japon où l'alimentation traditionnelle en est dépourvue. En revanche, dès lors que ces sociétés se mettent à manger « à l'occidentale », le nombre de cancers augmente.
º L'ostéoporose : L'idée est plus que répandue « pour ne pas avoir d'ostéoporose, il faut consommer au moins deux produits laitiers chaque jour ». Or, c'est dans les pays où l'on en consomme le plus, et notamment dans les pays du Nord, que l'ostéoporose est la plus fréquente. En effet, ces aliments, ainsi que l'ensemble des protéines animales, sont très acides. L'organisme, pour maintenir l'équilibre acide/base du sang va puiser des minéraux (substances tampons) dans les autres organes : les dents et surtout les os, ce qui entraîne à terme -associé à divers facteurs comme le manque d'exercice physique, de vitamine D - une perte de minéraux et surtout de calcium dans les os et les dents (voir les problèmes dentaires des personnes âgées).
º Et tout le reste : acné, maladies cardiovasculaires, maladies auto-immunes, problèmes articulaires tels rhumatisme, arthrite et arthrose sont aggravés par la forte consommation de produits laitiers. Dans les cas les plus sévères, il faudra totalement supprimer ces aliments pour voir une nette amélioration.
Bien que notre consommation de lait ait été multipliée par quatre en cinquante ans, le taux d’ostéoporose ne cesse d’augmenter (+5% par an).
De plus, les pays grands consommateurs de produits laitiers (pays scandinaves en tête. Les Suédois détiennent deux records mondiaux : celui de la consommation de laitages et celui des fractures du col du fémur) sont ceux qui comptent le plus de problèmes d’ostéoporose en général, et de fractures du col du fémur en particulier. Les femmes japonaises qui ne consomment jamais de lait de vache mais du soja n'ont pas de problème d'ostéoporose.
Le régime d’Okinawa par exemple (Japon) qui compte de nombreux centenaires n’en contient pas du tout.
La consommation de laitages de vache, qui sont souvent fait industriellement avec des laits pasteurisés, favorise l'acidification de notre corps et en fait donc un aliment favorisant l'ostéoporose. L'acidification amenée par les produits laitiers de vache peut engendrer des douleurs articulaires chroniques. Un corps acide favorise le dépôt de cristaux de sel au niveau des articulations qui peuvent devenir douloureuses.

Corrections possibles :

Le lait et ses dérivés ne sont pas les seuls aliments à contenir du calcium.
On en trouve dans :
• les fruits et les graines oléagineuses (amandes, noix, noisettes, noix du brésil, pistache, sésame, graines de tournesol, graines de courge ...)
• les fruits secs (dattes, abricots secs, figues ...)
• les algues
• certains légumes (chou, brocoli, cresson, navet, persil, pissenlit, épinards, ...à manger cru de préférence : la cuisson va abimer le calcium et on ne pourra plus l'assimiler.
• les laitages de chèvre ou de brebis (ils contiennent des facteurs de croissances de petits animaux qui sont moins néfaste que ceux de vache
o (A éviter en cas de cancer  l’hormone de croissance favorise les cancers)
• les sardines et d’autres poissons à manger avec les arêtes,
• les légumineuses (soja, pois chiches, haricots blancs, lentilles ...
• Préférer du lait végétal (amande, avoine, noisette...)
• Manger des oléagineux (amande, c’est le seul oléagineux qui soit alcalinisant), noix, noix du Brésil...
A noter toutefois que pour certaines personnes la consommation de lait (non pasteurisé et bio) est peut-être bénéfique, car il est possible que les problèmes cités ci-dessus soient surtout liés à une surconsommation.
Selon l’Ayurvéda, la consommation de lait (bio et non pasteurisé) est, en quantité modérée, selon les individus considérée comme bénéfique pour la santé.



L’importance des épices

• Le curcuma : Son composant thérapeutique la curcumine est un puissant anti-inflammatoire, mais seulement à haute dose (minimum 2 cuillères à soupa par jour ce qui fait beaucoup, sa prise est plus facile en complément alimentaires justement dosé). Antioxydants et antidouleurs surtout dans les maladies inflammatoires, mais attention, elle est associée au poivre pour une meilleure absorption, ce qui peut être contre-indiqué en cas d’intestin poreux car le poivre favorise la perméabilité intestinale, d’où sa capacité à booster le passage dans le sang et donc la métabolisation des substances. Attention aux intolérances !

• Le gingembre : Tonique général, anti-reflux, anti-nauséeux, alcalinisant, anti-infectieux, antioxydant, digestif, réchauffant, vasodilatateur (d’où sa réputation d’aphrodisiaque), favorise la circulation périphérique.

• Le piment : Anti-infectieux, anti-oxydant, tonique, digestif (stimule le feu gastrique), vasodilatateur aussi…Mais attention agressif pour les muqueuses et les vaisseaux (hémorroïdes…), préférer le piment d’Espelette très doux et savoureux, donc avec moins d’effets indésirables.

• Le clou de girofle : Anti-infectieux, anesthésiant (maux de dents), antiviral (maux de gorge), antiseptique, tonique, réchauffant, anti-inflammatoire…L’épice de l’hiver par excellence !

• La cannelle : De Ceylan, elle est précieuse et puissante, de haute valeur bienfaisante : anti-inflammatoire, anti-infectieuse, anti-oxydante, antiseptique, aromatique, c’est l’épice anti-rhume et contre tous les maux inflammatoires.

• Le cumin : Haut pouvoir carminatif et stomachique : il aide la digestion et à évacuer les gaz inconfortables qui provoquent les ballonnements. Comme l’ail elle passe dans le sang et ses effluves ressortent jusque dans les pores de la peau et la transpiration. Preuve qu’elle nettoie le corps dans tous ses recoins ! Elle est aussi anti-infectieuse, autrefois on s’en servait pour guérir les maux d’hiver, les affections de la bouche, les maux de gorges…

• Le poivre : Comme dit au-dessus, il peut favoriser la perméabilité intestinale mais est aussi très tonique et anti-infectieux et favorise le feu digestif par son piquant et stimule les papilles. Rouge, vert, blanc, ses arômes varient pour le plaisirs de tous, avec des intensités variables, le noir étant le plus fort.
o A éviter en cas de porosité intestinale et douleur articulaire.

• Le curry : il associe plusieurs de ces épices magnifiques (dont le curcuma) pour le bonheur de nos sens et de notre santé !

Important : Les épices subliment les saveurs, ils permettent ainsi de moins saler !

Cuisson et ustensiles de cuisine :

• Pas d’ustensile en aluminium (casseroles en alu, papier alu, barquettes alu, capsules café en aluminium) souvent utilisés en camping)
o Il est cause probable de maladie dégénératives comme Alzheimer (une étude comparative a été faite dans les pays nordiques sur des personnes qui consommaient régulièrement du café préparé dans une cafetière en aluminium)
 Recommandé  ustensiles de cuisine en Inox chirurgical 18/10
• Pas de micro-onde
o Destruction des vitamines (notamment du groupe B et C)
o Graisses hyper oxydées, ce qui a pour effet d’augmenter la quantité de radicaux libres (les radicaux libres sont des molécules très réactives qui seraient impliquées dans l’apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et de maladies liées au vieillissement. Les antioxydants sont des composés qui réduisent les dommages causés par les radicaux libres.)
• Limiter l’utilisation du barbecue
o Réaction de Maillard
 Cancérigène
• Légumineuses (mettre à tremper la veille, sauf lentilles),
o même germées, il faut les cuire (5 minutes)
• Plancha, ok, car les légumes sont saisis.
• Viande Grillé, ce n’est pas bon ! (réaction de Maillard). Saisi  ok
• Légumes cuits dans l’eau  départ eau bouillante, puis cuisson à la température la plus basse possible (eau frémissante) afin de préserver au maximum les vitamines.
• Cuisson vapeur ok, t° inférieure à 100° ou 110°

ACIDOSE :

L'acidose correspond à une acidité accrue du plasma sanguin : c'est-à-dire quand le pH naturel se situe au-dessous de 7,35 (son opposé, l'alcalose, se produit à un pH supérieur à 7,45).


• Causes associés : stress, surconsommation d'aliments acidifiants, carences en vitamines et sels minéraux, exercices physiques intensifs, sédentarité, alcool, tabac, excitants, surmédication, laitages.

"Dans notre mode de vie actuel, où nous sommes trop sédentarisés, mal oxygénés, nourris d’aliments très appauvris en catalyseurs divers, il est courant de voir des troubles de santé dus à une accumulation d’acides." Docteur Catherine Kousmine
https://www.prevention-sante.eu/actus/equilibre-acido-basique-heritage

Du fait du stress inhérent à notre mode de vie, de la sédentarité ou de son inverse ‒ sports intensifs ‒ des carences en vitamines et minéraux, des aliments raffinés (comme le sucre), trop acides, de l’alcool, tabac, excitants, notre plasma sanguin a tendance à devenir trop acide.
• Cette acidose est régulée naturellement par l’activité physique, la respiration, boire suffisamment d’eau (drainer).
Elle provoque un état inflammatoire qui devient la cause de :
1 ‒ Douleurs musculaires, articulaires ou intestinales chroniques
2 – Athérome (inflammation des artères)  maladies cardiovasculaires

Dans toutes les pathologies, le pH urinaire est acide, alors qu’en état d’équilibre il est neutre, proche du pH sanguin. Il est aussi le reflet de l’acidification et de l’encrassage des tissus. L’acidose tissulaire, notion complexe, peut donc se définir comme l’évidence de l’intoxication des tissus et de l’encrassage de l’organisme par les acides, surtout d’origine alimentaire.

« Un terrain trop acide favorise l’inflammation »

Pathologies induites :

• L’acidose oblige l’organisme à puiser des minéraux dans sa réserve osseuse. Mécanisme de régulation qui dans la durée est à l’origine de l’ostéoporose.
• Le corps fonctionne moins bien (une avalanche de pathologie)
o Fatigue, manque d’énergie, inflammation, ostéoporose...
o Une grande partie des eczémas, rougeurs de la peau...

Corrections possibles :

• Supprimer ou réduire les causes 
o Stress, surconsommation d'aliments acidifiants, carences en vitamines et sels minéraux, exercices physiques intensifs, sédentarité, alcool, tabac, excitants, surmédication.
• Prendre :
o Vinaigre de cidre
o Des minéraux basiques : (potassium, magnésium, fer, sodium, manganèse) vont neutraliser les excès d’acides.)
o Des oméga-3 ont une action anti-inflammatoire parce qu’ils permettent à l’organisme de produire des molécules anti-inflammatoires.
o Prendre des citrates alcalins (pour corriger l’acidose)


LES SUPER ALIMENTS (liste non exhaustive)

La spiruline : C’est une algue d’eau douce baisse du taux cholestérol, apporte de l’énergie, antioxydante.

La chlorella : C’est une algue d’eau douce elle contient, entre autre, tous les acides aminés essentiels et elle est riche en omégas 3.

Le Gomasio : sésame + sel marin (non raffiné) :
https://www.mr-plantes.com/2015/09/gomasio/

La levure alimentaire

Les germes de blé

Les Algues :
http://www.nourriture-sante.com/pourquoi-cuisiner-les-algues-comment/

Le vinaigre de cidre : Contient : Vit C, B1, B2, B6, B12
A prendre : Dans les vinaigrettes (et/ou) une cuillère à soupe (ou à café) avant ou pendant les repas.
Intéressant pour :
• Correcteur Acidose
• Rééquilibrant et antibactérien
• Coupe faim naturel (pour mincir)
• Angines et maux de gorge (en gargarisme)
• Arthrose et rhumatisme
• Migraine

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Jean-Yves

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